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Patrimoines industriels
Au sommaire : Grande et petite histoire du programme nucléaire français – Philippe Boulin La fonction de directeur au Creusot sous les Schneider – Antoine de Badereau Si on parlait « énergie » – Jean Dollet Le Conservatoire des Arts et Métiers – Fernand Perrin L’apprentissage – Roger-Louis Gendreau Le travail des archivistes à l’Académie François Bourdon – Virginie Claudel et F-Y Julien La cloche de bronze – André Prost
Au sommaire : Les houillères du Creusot – Jean-Philippe Passaqui Un accident à la mine du Creusot en 1841 – Antoine de Badereau Créatures étranges de la mine – Antoine de Badereau La maîtrise de l’acier Martin acide destiné à l’artillerie à partir de 1875 – Honoré Coquet Des hommes du devoir : les frères Schneider à la guerre – Antoine de Badereau Rapport de Louis Beugras en Allemagne –.. Read More
Suite du “Pays du Creusot au temps de la Révolution”, il s’agit là sans doute du document le plus objectif et le plus abouti sur cette période extrêmement riche de l’histoire du Creusot avec les Chagot, Manby et Wilson et l’arrivée d’Adolphe et Eugène Schneider. Mais l’auteur s’est aussi attaché aux hommes qui ont compté au cours de ces 5 décénnies de 1800 à 1850 : Mollerat, Bureau, Chardon, Ladouèpe-Dufougerais,.. Read More
Après “Le Creusot, un certain regard” et un opuscule consacré à une recherche sur “Le Pays du Creusot aux XVème et XVIème siècles”, André Laffly s’attache cette fois à retrouver les événements de la période révolutionnaire. Et qu’ elles furent riches ces années 1780 – 1800 ! Elles bouleversèrent et le paysage du vallon de la Charbonnière et les habitudes ancestrales des paysans du “Crozot” ou des Nouiliots, agressés par.. Read More
Le Creusot est surtout connu pour son industrie métallurgique. Le passé minier de la ville est, quant à lui, bien oublié. Pourtant, il y a longtemps que l’on « jardinait » le charbon. Jean-Philippe PASSAQUI nous propose ici de faire revivre, sous tous ses aspects, l’exploitation minière, indispensable à l’essor des Forges. Sans ses mines, le Creusot n’existerait pas.
Claude MERCIER est, si l’on ose cette expression, « sculpteur métallurgiste ». Il est inventeur de volumes, assembleur de matériaux, constructeur de formes, et dialogue ainsi avec l’espace. L’évolution de ses œuvres en témoigne, elle est retracée dans l’ouvrage. Les œuvres témoignent d’un rapprochement fort entre l’artiste et ceux qui, au quotidien, travaillent le fer et les autres métaux avec un savoir-faire reconnu. Ce savoir-faire et ces méthodes trouvent ici un accomplissement.. Read More
Après l’épopée industrielle qu’a connue Le Creusot aux XIXème et XXème siècles, et qui d’ailleurs se prolonge fort heureusement aujourd’hui, évoquer son passé médiéval, presque exclusivement rural, peut sembler incongru; et pourtant… Avant, Le Creusot était le Crosot, hameau le plus éloigné de la paroisse du Breuil. Alentour, fermes ou domaines dont les noms perdurent préfiguraient déjà le Pays du Creusot.
Au début de la révolution industrielle française, en 1936, Eugène Schneider achète et développe les usines métallurgiques du Creusot. En 1839, il crée en bord de Saône un chantier de construction navale à Chalon-sur-Saône. Ce site industriel se développe au cours de son histoire grâce à de nouvelles activités : ponts métalliques, charpentes métalliques, chaudronnerie (échangeurs, réservoirs, conduites forcées…), chaudronnerie lourde (pétrochimie, hydrocrackers, chars (AMX 13, VAB), constructions pour l’industrie.. Read More
Ils avaient entre 12 et 18 ans et il leur fallut connaître l’internat obligatoire. Le Creusot avait été sévèrement bombardé deux fois, les écoles étaient sinistrées et l’on avait peur d’un retour des bombardiers. Les élèves des établissements Schneider furent donc envoyés « au vert » sur Cluny ou le Château d’Ouilly… Nouvelle vie pour tous, marquée par l’époque : la guerre, l’occupation, la résistance, les restrictions alimentaires, les conditions d’hébergement. Cet épisode.. Read More
Le 10 décembre 1940, le commandement supérieur des forces armées allemandes, l’OKW (Oberkommando der Wehrmacht) donne l’ordre de transfert d’unités aériennes allemandes vers le sud de l’Italie et la Sicile. La marine allemande ne dispose d’aucun bâtiment en Méditerranée , le « verrou » de Gibraltar est tenu par l’Angleterre. C’est dans ce contexte qu’interviennent les demandes de transit en France, par la « zone libre » de bateaux de guerre allemands. Cette publication.. Read More